21 octobre 2017

[GRIF' En peine] Tes grands yeux éclaireront nos ténèbres, Goya...

Tu étais un regard, tu étais une voix, tu étais une personne, tu étais notre joie... Tu t'es endormi mardi matin à 9 heures. Nous t'y avons aidé. Tes pauvres poumons n'en pouvaient plus d'en appeler à l'air qui se refusait. Bouffée, par bouffée, par bouffée...    Une minute a suffi pour te délivrer de cette épuisante servitude...   Tu nous étais indispensable, l'as-tu su en partant? Ai-je eu le temps de te chuchoter tout notre amour? Il parait qu'à la toute fin, une minute suffit à voir défiler toute... [Lire la suite]