
Tu étais un regard, tu étais une voix, tu étais une personne, tu étais notre joie...
Tu t'es endormi mardi matin à 9 heures. Nous t'y avons aidé.
Tes pauvres poumons n'en pouvaient plus d'en appeler à l'air qui se refusait.
Bouffée, par bouffée, par bouffée...
Une minute a suffi pour te délivrer de cette épuisante servitude...
Tu nous étais indispensable, l'as-tu su en partant?
Ai-je eu le temps de te chuchoter tout notre amour?
Il parait qu'à la toute fin, une minute suffit à voir défiler toute...
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