
Quand on me chante les louanges des bars à chats,
qui trop souvent écoulent les "reliquats" d'élevages...
et sans douter de la sincérité de certains tenanciers,
je ne peux m'empêcher de penser à toi, Fluffy,
toi pour qui ce journal accepté dans un coin du refuge
a représenté un eldorado.
Depuis quand errais-tu?
Combien de portes s'étaient-elles fermées?
À combien de trappes de la fourrière avais-tu échappé?
Et lequel de ces bars t'aurait accueilli et soigné?
Squelettique, parasité, exténué... intouchable...
Tous...
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