On a toujours tout partagé.

L'abandon puis l'abri.

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La faim puis les croquettes.

Les puces puis les caresses.

Le pire puis le meilleur.

Et à présent la générosité d'une marraine,

venue ajouter du confort à nos vieux jours.

Le beau gosse sur la photo, c'est moi, Nounours.

Je porte bien mon nom. Pas vrai?

Ma compagne de toujours,

c'est elle, c'est Choupette :

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Et nous deux, on dit à notre marraine :

Merci, Béa!

 

Nounours et =^..^=artine

 

Nos marraines sont essentielles.

Leur soutien est vital.

Il y a encore ici beaucoup de sans marraines.

(Les parrains sont aussi les bienvenus.s si ça vous dit, il suffit

de contacter l'auteure.